Vārdi: Olivier Novembre. Olivier Novembre. Je Continuerai.

Tu sais mon amour que le matin, je le savoure
Car ta presence m?est chere
Parce que le monde tourne aux enfers
Des palissades se confectionnent
Dans trop de tetes, le glas sonne
Mais quand je fuis dans tes bras
J?oublie l?horreur qui s?accroit

Plus jamais je quitterai
Cette place, ce paradis
Ou ma vie n?a plus l?doute d?aimer
Que dehors, c?est trop froid, trop gris
J?espere qu?la liberte
Restera notre ange gardien
Pour affronter les hommes les plus mesquins

Malgre mes faiblesses je continuerai
A vivre l?ivresse que tu sais tant m?apporter
En entrouvrant nos mains, peut-etre que les grands
Arreteront pour demain leurs envies de devenir geant

Tu es devenue ma drogue
Ma sortie de secours
A ces visions de mort qui voguent
A cette demence de non-retour
Il ne me reste que toi
Pour vivre d?esperance
A travers toutes ces voix
Qui parlent de souffrance

Malgre mes faiblesses je continuerai
A vivre l?ivresse que tu sais tant m?apporter
En entrouvrant nos mains, peut-etre que les grands
Arreteront pour demain leurs envies de devenir geant