Vārdi: Mireille Mathieu. L'homme à La Moto.
Il portait des culottes, des bottes de moto
Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la region.
Jamais il ne se coiffait, jamais il ne se lavait
Les ongles pleins de cambouis mais sur les biceps il avait
Un tatouage avec un coeur bleu sur la peau bleme
Et juste a l'interieur, on lisait : "Maman je t'aime"
Il avait une petite amie du nom de Marie-Lou
On la prenait en pitie, une enfant de son age
Car tout le monde savait bien qu'il aimait entre tout
Sa chienne de moto bien davantage...
Il portait des culottes, des bottes de moto
Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la region.
Marie-Lou la pauvre fille l'implora, le supplia
Dit : "Ne pars pas ce soir, je vais pleurer si tu t'en vas..."
Mais les mots furent perdus, ses larmes pareillement
Dans le bruit de la machine et du tuyau d'echappement
Il bondit comme un diable avec des flammes dans les yeux
Au passage a niveau, ce fut comme un eclair de feu
Contre une locomotive qui filait vers le midi
Et quand on debarrassa les debris...
On trouva sa culotte, ses bottes de moto
Son blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Mais plus rien de la moto et plus rien de ce demon
Qui semait la terreur dans toute la region...
Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la region.
Jamais il ne se coiffait, jamais il ne se lavait
Les ongles pleins de cambouis mais sur les biceps il avait
Un tatouage avec un coeur bleu sur la peau bleme
Et juste a l'interieur, on lisait : "Maman je t'aime"
Il avait une petite amie du nom de Marie-Lou
On la prenait en pitie, une enfant de son age
Car tout le monde savait bien qu'il aimait entre tout
Sa chienne de moto bien davantage...
Il portait des culottes, des bottes de moto
Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la region.
Marie-Lou la pauvre fille l'implora, le supplia
Dit : "Ne pars pas ce soir, je vais pleurer si tu t'en vas..."
Mais les mots furent perdus, ses larmes pareillement
Dans le bruit de la machine et du tuyau d'echappement
Il bondit comme un diable avec des flammes dans les yeux
Au passage a niveau, ce fut comme un eclair de feu
Contre une locomotive qui filait vers le midi
Et quand on debarrassa les debris...
On trouva sa culotte, ses bottes de moto
Son blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Mais plus rien de la moto et plus rien de ce demon
Qui semait la terreur dans toute la region...
Mireille Mathieu
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