Vārdi: Francis Cabrel. Ma Ville.
La rue est sale
On y chante plus, on s'y croise a peine
Ceux qui s'y promenent y parlent si bas
Que la rue est morte
Rue d'usine
Toute tachee d'huile tombee des machines
Je ne vois plus d'enfant jouer dans vos rigoles
La rue est folle
Comme un mendiant, je me promene
Personne pour me dire bonjour
Je suis un etranger ma mere
Dans la ville ou j'ai vu le jour
Comme un voleur, ils me regardent
Il n'est pas question d'amitie
Leurs sourires ils se les gardent
Dans cette ville ou je suis ne
Ma ville est triste
Cent mille personnes et personne n'existe
Des courants de monnaie trainent mille fantomes
Comme un seul homme
Ma ville est grise
Des couloirs de beton aux porches des eglises
Tout deviendra si noir qu'il n'y a plus de remede
Ma ville est laide
Comme un mendiant, je me promene
Personne pour me dire bonjour
Je suis un etranger ma mere
Dans la ville ou j'ai vu le jour
Comme un voleur, ils me regardent
Il n'est plus question d'amitie
Leurs sourires ils se les gardent
Dans cette ville ou je suis ne
Mais demain, demain si tu veux
Tout demain, demain tous les deux
On refera ma ville, ma ville
Et demain, demain si tu veux
Tout demain, tout demain tous les deux
On refera ma ville...
On y chante plus, on s'y croise a peine
Ceux qui s'y promenent y parlent si bas
Que la rue est morte
Rue d'usine
Toute tachee d'huile tombee des machines
Je ne vois plus d'enfant jouer dans vos rigoles
La rue est folle
Comme un mendiant, je me promene
Personne pour me dire bonjour
Je suis un etranger ma mere
Dans la ville ou j'ai vu le jour
Comme un voleur, ils me regardent
Il n'est pas question d'amitie
Leurs sourires ils se les gardent
Dans cette ville ou je suis ne
Ma ville est triste
Cent mille personnes et personne n'existe
Des courants de monnaie trainent mille fantomes
Comme un seul homme
Ma ville est grise
Des couloirs de beton aux porches des eglises
Tout deviendra si noir qu'il n'y a plus de remede
Ma ville est laide
Comme un mendiant, je me promene
Personne pour me dire bonjour
Je suis un etranger ma mere
Dans la ville ou j'ai vu le jour
Comme un voleur, ils me regardent
Il n'est plus question d'amitie
Leurs sourires ils se les gardent
Dans cette ville ou je suis ne
Mais demain, demain si tu veux
Tout demain, demain tous les deux
On refera ma ville, ma ville
Et demain, demain si tu veux
Tout demain, tout demain tous les deux
On refera ma ville...
Francis Cabrel
Francis Cabrel
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