Vārdi: Charles Aznavour. Il Te Suffisait Que Je T'aime.
Nous avions vingt ans,
Toi et moi,
Quand on a sous le meme toi,
Combattu la misere ensemble,
Nous etions encore presque enfant,
Et l'on disait en nous voyant,
"Regardez, comme ils se ressemblent",
Nous avons la main dans la main,
Surmontes les coups du destin,
Et resolu bien des problemes,
Le ventre vide en privation,
Tu te nourrissais d'illusions,
Il te suffisait que je t'aime,
Nous avons lutte tant d'annees,
Que la fortune s'est donnee,
Et l'age a pris ton insouciance,
Tu te traines comme un fardeau,
Et ne ris plus a tout propos,
Et pleurs, ton adolescence,
Et passe du matin au soir,
Des heures devant ton miroir,
Essayant des fars et des cremes,
Et moi, je regrette parfois,
Le temps ou pour forger tes joies,
Il et suffisait que je t'aime.
Si je le pouvais mon amour,
Pour toi j'arreterais le cours,
Des heures qui vont et s'eteignent,
Mais je ne peux rien y changer,
Car je suis comme toi loge,
Tu le sais a la meme enseigne,
Ne cultive pas les regrets,
Car on ne recolte jamais,
Que les sentiments que l'on seme,
Fait comme au temps des annees d'Or,
Et souviens qu'hier encore,
Il te suffisait que je t'aime.
Pour moi, rien n'a vraiment change,
Je n'ai pas cesser de t'aimer,
Car tu as toujours tout le charme,
Que tu avais ce jour benit,
Ou devant Dieu tu as dit oui,
Avec des yeux baignes de larmes;
Le printemps passe et puis l'ete,
Mais l'automne a des joies cachees,
Qui te faut decouvrir toi meme,
Oublie la cruaute du temps,
Et rappelle toi qu'a vingt ans,
Il te suffisait que je t'aime .
Toi et moi,
Quand on a sous le meme toi,
Combattu la misere ensemble,
Nous etions encore presque enfant,
Et l'on disait en nous voyant,
"Regardez, comme ils se ressemblent",
Nous avons la main dans la main,
Surmontes les coups du destin,
Et resolu bien des problemes,
Le ventre vide en privation,
Tu te nourrissais d'illusions,
Il te suffisait que je t'aime,
Nous avons lutte tant d'annees,
Que la fortune s'est donnee,
Et l'age a pris ton insouciance,
Tu te traines comme un fardeau,
Et ne ris plus a tout propos,
Et pleurs, ton adolescence,
Et passe du matin au soir,
Des heures devant ton miroir,
Essayant des fars et des cremes,
Et moi, je regrette parfois,
Le temps ou pour forger tes joies,
Il et suffisait que je t'aime.
Si je le pouvais mon amour,
Pour toi j'arreterais le cours,
Des heures qui vont et s'eteignent,
Mais je ne peux rien y changer,
Car je suis comme toi loge,
Tu le sais a la meme enseigne,
Ne cultive pas les regrets,
Car on ne recolte jamais,
Que les sentiments que l'on seme,
Fait comme au temps des annees d'Or,
Et souviens qu'hier encore,
Il te suffisait que je t'aime.
Pour moi, rien n'a vraiment change,
Je n'ai pas cesser de t'aimer,
Car tu as toujours tout le charme,
Que tu avais ce jour benit,
Ou devant Dieu tu as dit oui,
Avec des yeux baignes de larmes;
Le printemps passe et puis l'ete,
Mais l'automne a des joies cachees,
Qui te faut decouvrir toi meme,
Oublie la cruaute du temps,
Et rappelle toi qu'a vingt ans,
Il te suffisait que je t'aime .
Aznavour, Charles
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